Étiquette : coronavirus

Regarder en face le monde d’après

Ce texte nous propose les réflexions d’un infiltré sur les conditions de réalisation des appels au « jour d’après », au « jour qui vient », qui se multiplient depuis le début de la crise du coronavirus pour réclamer un monde plus respectueux de l’humain et des écosystèmes. Il invite à prendre la mesure des…
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Les Jours Heureux du capitalisme

Lundi 13 avril, dans son Adresse aux Français, le Président de la République s’engageait à « bâtir une stratégie où nous retrouverons le temps long, la possibilité de planifier, la sobriété carbone, la prévention, la résilience qui seules peuvent permettre de faire face aux crises à venir ». Le lendemain, une tribune rassemblant ministres, eurodéputés, associatifs, syndicalistes…
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Coronavirus : le gouvernement devra rendre compte de son inconséquence

« Le savoir afin de prévoir, et prévoir afin de pourvoir », Le rivage des Syrtes, J. Gracq « Je félicite toutes celles et ceux qui avaient prévu tous les éléments de la crise une fois qu’elle a eu lieu », Emmanuel Macron, 20 mars 2020. « Lisez ! » nous a enjoint le 16 mars 2020 le Président Macron en…
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Ralentir

Cela fait si longtemps que je bute sur les racines. J’ai beau lire des analyses historiques, sociologiques, économiques, psychologiques, ça m’échappe. Je ne comprends pas comment nous en sommes arrivés là. Il me manque l’affect déclencheur. Les classes, l’oligarchie, la domination, la compétition, le matérialisme, la consommation… Tout cela, je le constate et ne le…
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Cynisme ou folie ?

Après 40 ans d’échec continu du néolibéralisme à améliorer le sort de nos concitoyens, ça craque de tous les côtés et le coronavirus pourrait bien donner le coup de grâce à cette idéologie mortifère. Destruction progressive des services publics, chômage de masse persistant, baisse des droits des travailleurs, hausse de la précarité, attaque des retraites,…
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Une mauvaise grippe met à mal le capitalisme

A l’époque je n’avais pas encore lu Guy Debord et Simone Weil. C’était à la fin de l’automne 2008. J’étais patron d’une société de gestion de portefeuilles. Mes clients étaient des institutionnels, c’est-à-dire des caisses de retraite, des assureurs, et des entreprises. Notre monde semblait aller vers une fin brutale. Des créances immobilières de piètre…
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