Une mauvaise grippe met à mal le capitalisme

A l’époque je n’avais pas encore lu Guy Debord et Simone Weil. C’était à la fin de l’automne 2008. J’étais patron d’une société de gestion de portefeuilles. Mes clients étaient des institutionnels, c’est-à-dire des caisses de retraite, des assureurs, et des entreprises. Notre monde semblait aller vers une fin brutale. Des créances immobilières de piètre…
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